Ensuite en route vers l'aéroport du Caire, dernière plongée dans la circulation hétéroclite cairote.

Notre avion décolle à 13 heures pour atterrir à 16h10 (heure française) à Orly. Une fois les bagages embarqués, les adieux fait à Tarek qui repart immédiatement pour emmener de nouveaux clients dans le désert du Sinaï, nous attendons l'avion qui est bien-sûr en retard et qui partira en définitive à 14 heures. C'est un Airbus A340 presque vide, et pour le remplir, au lieu de voler vers la Méditerrannée, à la grande surprise de tout le monde l'avion fait demi-tour et vole plein sud pour survoler une petite heure plus tard les rivages de la Mer Rouge et atterrir à Hurgada. Là, on embarque des dizaines de gens bronzés et au bout de trois-quarts d'heure, on repart, direction Paris, enfin.

Ce qui nous fait arriver à 19h30 à Orly. Il fait toujours aussi moche, les gens font tous la gueule, c'est quelques chose qu'on avait complétement oublié, les égyptiens sourient tout le temps. La bonne humeur des habitants est inversement proportionnelle à la richesse du pays. Derniers adieux, on se promet de se rappeler. Ensuite c'est la course dans les couloirs du métro pour essayer d'avoir un train.

FIN du VOYAGE

29 Août : mon lit a tangué toute la nuit, j'ai dû rêver du voilier. Premiers symptômes du "blues du touriste"...

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